25
Octobre
HOMMAGE #jesuisenseignant
Par Patrick LE ROUX • Publié le 25/10/2020
Par Patrick LE ROUX • Publié le 25/10/2020
"Dans ces heures sombres, l’Enseignement catholique se sent profondément uni solidairement à toute la communauté scolaire, à tous ses acteurs, et d’abord aux enseignants. Parce qu’elle est notre raison d’être, nous défendrons l’école et ceux qui la font, pour que l’ignorance soit partout combattue, sous ses deux formes : celle du défaut de culture et celle du défaut de relation à l’autre. L’ignorance construit la peur.
...Nous ne reculerons pas sur notre confiance dans la possibilité d’une fraternité entre les personnes, faite de dialogue entre les groupes sociaux, entre les religions et les cultures, entre les savoirs... "
À Samuel Paty par Gauvain Sers (auteur-compositeur-interprète)
Paraît qu’on s’habitue
Aux larmes de la nation
Ce matin, j’me suis tu
Sous l’coup de l’émotion
Paraît qu’on s’habitue
Quand l’infâme est légion
Tous ces hommes abattus
Pour les traits d’un crayon
Paraît qu’on s’habitue
À défendre à tout prix
Les 3 mots qu’on a lus
Aux frontons des mairies
Paraît qu’on s’habitue
Quand on manque de savoir
Par chance, on a tous eu
Un professeur d’Histoire
Paraît qu’on s’habitue
À la pire barbarie
Mais jamais j’n’y ai cru
Et pas plus aujourd’hui
Paraît qu’on s’habitue
Aux horreurs qu’on vit là
Mais l’innocent qu’on tue
Je ne m’habitue pas”
...Nous ne reculerons pas sur notre confiance dans la possibilité d’une fraternité entre les personnes, faite de dialogue entre les groupes sociaux, entre les religions et les cultures, entre les savoirs... "
À Samuel Paty par Gauvain Sers (auteur-compositeur-interprète)
Paraît qu’on s’habitue
Aux larmes de la nation
Ce matin, j’me suis tu
Sous l’coup de l’émotion
Paraît qu’on s’habitue
Quand l’infâme est légion
Tous ces hommes abattus
Pour les traits d’un crayon
Paraît qu’on s’habitue
À défendre à tout prix
Les 3 mots qu’on a lus
Aux frontons des mairies
Paraît qu’on s’habitue
Quand on manque de savoir
Par chance, on a tous eu
Un professeur d’Histoire
Paraît qu’on s’habitue
À la pire barbarie
Mais jamais j’n’y ai cru
Et pas plus aujourd’hui
Paraît qu’on s’habitue
Aux horreurs qu’on vit là
Mais l’innocent qu’on tue
Je ne m’habitue pas”
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